VILLANTERIO PLEURE RASTELLI L’INDUSTRIEL PHILANTHROPE
Villanterio pleure Rastelli l’industriel philanthrope
Mars 23 2018
Le fondateur de la société des raccords où travaillent 200 personnes est mort à 91 ans.
Il a été supporteurs des associations, la municipalité l’a couronné en 2014.
VILLANTERIO. Adriano Rastelli est mort, fondateur de la Rastelli Raccordi, société qui a à peu près 200 travailleurs, avec siège à Villanterio et à Valera Fratta. Il avait 91 ans, trois filles et un fils, une vie dédié à la famille et à sa société qui avait créé du néant en 1952. Une petite usine dans le quartier Borghetto qui s’occupait de tournage mécanique. Tout doucement la petite usine s’est grandi, jusqu’à devenir une société phare dans le secteur des raccords d’haute précision et à exporter en Espagne, France, Allemagne et, depuis quelques années, en Chine. Ses filles et son fils le pleurent et le village entier le pleure. Parce que Adriano Rastelli, le maire Silvio Corbellini se souvient, « a donné le travail à beaucoup de gens de Villanterio et des villages proches » et parce que « il a toujours voulu soutenir les associations et les réalités locales ». En 2014 l’administration lui a donné le Prix San Giorgio, « signe de reconnaissance de sa grande capacité entrepreneuriale et de sa profonde humanité ». « Il a développé son activité avec engagement, en mettant l’accent sur la qualité et l’innovation – le maire souligne -.Avec ses collaborateurs il a su transformer sa petite usine en une groupe international qui se trouve aujourd’hui en plusieurs Etats Européens et aussi en Chine ».Une activité qui est « un modèle d’entrepreneuriat capable de combiner les besoins d’une économie moderne et dynamique et le respect de la personne », le maire est désireux de préciser, en rappelant aussi « les nombreux habitants du territoire qui, grâce à cette entreprise, ont pu entrer dans le monde du travail en développant leurs compétences professionnelles ». « La capacité entrepreneuriale de Adriano Rastelli a toujours marché main dans la main avec son amour pour Villanterio, village où il est né, il a travaillé et il a toujours vécu – dit Corbellini -. En outre, en toute confidentialité, il a toujours été socialement engagé à soutenir de manière concrète et déterminée différentes réalités locales qui prennent soin du bien de la communauté du pays. Une référence pour Villanterio et sa perte est un grand manque pour toute la communauté ». (source : La Provincia Pavese – Stefania Prato)